Star Trek, ombres et lumières d'un Space Opera
Star Trek marqua la popularisation dans le petit écran d'un sous-genre littéraire déjà vieux d'un siècle à l'époque de son premier épisode (1966), le space opera.
Star Trek marqua la popularisation dans le petit écran d'un sous-genre littéraire déjà vieux d'un siècle à l'époque de son premier épisode (1966), le space opera.
Tiraillé entre le thriller policier, le film noir et le western, le long métrage des frères Cohen, No country For Old Men, tente d'assouvir le besoin existentiel qu’a le spectateur d'exalter ses souffrances à travers un héros déchu qui évolue dans un univers en complète rupture avec son passé. Ce chef-d’œuvre est une adaptation du roman de Cormac McCarthy, du même titre, paru en 2005. Acclamé pour la vigueur de son style et sa rigueur peu commune, l'écrivain présente un polar basé sur les liens entre le déclin de l'homme et celui de son milieu.
En croyant agir au nom d’une loi qui vise à étendre la surveillance généralisée, la SPVM a retrouvé un des gestes les plus archaïques qui soit, la décollation, symbolique, de l’ennemi.
La série britannique Doctor Who est à l’antenne depuis 1963. Elle raconte les aventures dans le temps et l’espace d’un extra-terrestre de la planète Gallifrey dans son vaisseau le TARDIS. Son véritable nom est inconnu, mais on le surnomme le Doctor (Docteur).
Davantage posture par rapport au réel que notion clairement établie, l’humour ne se résout pas à une définition univoque. Entre comique et esprit, proche de l’ironie et touchant parfois au cynisme, il joue sur l’équivoque, mettant en tension un fond en apparence normal dans une forme faussement sérieuse. Dans la tradition des chansonniers, les «chansons du dimanche» d’Alexandre Castagnetti (Alec) et Clément Marchand jouent sur ce paradoxe.
Pour qui aime les énigmes policières, les histoires de chambres closes offrent un grand attrait, car ces histoires sont le théâtre d’énigmes particulièrement ingénieuses. Une île isolée, où il n’y a plus aucun moyen pour les habitants de rejoindre le continent, présente le même univers qu’une chambre close. Les îles offrent cependant une possibilité infinie de tableaux et elles forment des mondes à part ayant une vie propre. C’est de cet univers singulier dont il sera question dans cet article.
«In a hole in the ground there lived a hobbit». «Au fond d’un trou vivait un hobbit».
«Les bandes dessinées, ces magazines que l’on n’osait pas lire sous peine de passer pour un illettré, sont maintenant l’objet de présentations luxueuses, trouvent une place d’honneur sur les rayons des bibliothèques.» Ainsi est présentée l’ouverture du livre La bande dessinée d’Annie Baron-Carvais, traitant de l’évolution du médium, relatant bien d’où vient la bande dessinée. Aux États-Unis, elle fut la grande lecture du melting-pot, ses illustrations permettant une universalité au-delà des langues.
«L’idée que des personnages, des lieux ou même des univers fictifs puissent franchir les limites de l’œuvre où nous les avons d’abord découverts a quelque chose d’irrésistible et d’un peu suspect à la fois.» (Richard Saint-Gelais)
Ce dimanche, la bande dessinée Little Nemo in Slumberland de Winsor McCay célébrait son 107e anniversaire. On pouvait même voir sur la page d'accueil du moteur de recherche Google, un Doodle interactif rendant hommage au personnage du célèbre dormeur. Publié dans les journaux dès le 15 octobre 1905, cette oeuvre pionnière du neuvième art naît en pleine révolution industrielle. La dynamique sociale est alors à la métamorphose: toutes les sphères de la société sont touchées par cette vague importante de transformations.