Sous-cultures

Heads vs Puristes: le franglais dans le hip-hop québécois

Soumis par David Paquette-Bélanger le 06/06/2013
Catégories: Sous-cultures

La revue Kinephanos publiait en juillet 2012 son troisième volume intitulé: «Plurilinguisme dans les arts populaires/Multilinguism in Popular Arts». Suivant la spécialisation de la revue, la plupart des articles s’intéressent au cinéma populaire. Il est toutefois intéressant de constater la volonté de publier deux articles qui prennent comme objet la langue écrite dans le hip-hop.

La culture foodie: Food&Wine magazine vs Lucky Peach

Soumis par Virginie Paquet le 04/06/2013
Catégories: Sous-cultures

Dans un long article du NYMag paru en avril 2012 et consacré à la culture foodie, le journaliste Michael Idov décrit ainsi la jeune femme qu'il a étudié et qui est à son avis l'archétype de la foodie: «Petite and stylish, with a self-­consciously goofy smile, Chang works in online and social-media marketing. She is, in culinary parlance, a civilian—her job has nothing to do with New York’s sprawling food industry or with the chattering class that’s gathered around it. Her leisure time and modest discretionary income, however, are devoted almost entirely to food and restaurants.»

L'art brut à l'ère du virtuel: L'exemple de Deathritus et Sonichu

Soumis par Simon Laperrière le 08/05/2012
Catégories: Sous-cultures

On qualifie généralement d’art brut, ou «outsider art», toute création produite en dehors des institutions établies ne s’adressant pas à un public visé. Évoluant en-dehors des mouvements esthétiques et des modes, les artistes de cette branche bénéficient d’une liberté totale, produisant sans se soucier de la réception critique d’autrui et n’ayant comme juge qu’eux-mêmes. Ils se démarquent également par un refus de la notoriété, optant plutôt pour l’anonymat en n’exposant jamais publiquement leurs œuvres.

Show lapin

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«Dans le film Matrix, Neo doit suivre un lapin blanc s’il veut découvrir ce qu’est la matrice, soit l’interface langagière dans laquelle il se trouve. Sans nul doute, il y a là des traces du lapin d’Alice au pays des merveilles, celui-là même qui creuse le trou dans lequel Alice tombe avant de se retrouver dans le monde merveilleux de l’imaginaire. Par l’entremise de son terrier, le lapin est d’ailleurs un animal qui fait constamment le passage entre un monde intérieur et extérieur.»

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