Le Hobbit: initiation à la fonction magique de la fiction
«In a hole in the ground there lived a hobbit». «Au fond d’un trou vivait un hobbit».
«In a hole in the ground there lived a hobbit». «Au fond d’un trou vivait un hobbit».
«Les bandes dessinées, ces magazines que l’on n’osait pas lire sous peine de passer pour un illettré, sont maintenant l’objet de présentations luxueuses, trouvent une place d’honneur sur les rayons des bibliothèques.» Ainsi est présentée l’ouverture du livre La bande dessinée d’Annie Baron-Carvais, traitant de l’évolution du médium, relatant bien d’où vient la bande dessinée. Aux États-Unis, elle fut la grande lecture du melting-pot, ses illustrations permettant une universalité au-delà des langues.
«L’idée que des personnages, des lieux ou même des univers fictifs puissent franchir les limites de l’œuvre où nous les avons d’abord découverts a quelque chose d’irrésistible et d’un peu suspect à la fois.» (Richard Saint-Gelais)