Nous accueillons dans cette section des articles individuels sur toute question ayant trait à la culture populaire contemporaine et qui ne s’inscrivent pas (pour l’instant) dans aucun des dossiers thématiques proposés.
 
La longueur des articles est variable. POP-EN-STOCK accepte une limite inférieure équivalente à sept ou huit pages (3000 mots), afin de favoriser la publication rapide, mais peut aussi accepter des articles beaucoup plus longs selon l’offre (n’étant pas limitée par un impératif de préservation de la forêt boréale).
 
POP-EN-STOCK étant en perpétuelle évolution, certains de ces articles seront éventuellement intégrés à de futurs dossiers thématiques au fur et à mesure de leur création, selon des critères de cohérence et de pertinence.

Zone Libre

Résultats de la recherche

    Comment parlons-nous des films qui n’existent pas? Goncharov vs. The Navidson Record

    Soumis par Audrée Lapointe le 09/06/2023
    Université du Québec à Montréal

     

    Goncharov est un film de 1973, produit par Martin Scorsese et réalisé par Matteo JWHJ 0715, avec comme acteur-ice-s vedettes Robert de Niro, Cybill Sheperd, Harvey Keitel et Al Pacino. Longtemps resté dans l’inconscient culturel, l’intérêt pour le film de mafia italiano-russe renaît en en novembre 2022, lorsqu’une grande partie des utilisateur-ice-s de la plateforme de micro-blogage Tumblr commence à en parler.

    Through the Looking-Glass [2]

    Soumis par Christophe Becker le 02/03/2016
    Catégories: Culture Geek, Idéologie

    L’univers miroir finit par ne plus paraître si étrange, ou du moins autant qu’il est «familier» comme le remarque Stan Hunter Krank. Les personnages qui y évoluent ne sont plus filmés comme des antagonistes. Au contraire, la caractérisation effectuée jusqu’ici sert de base aux scénaristes. Ces personnages nouveaux n’ont droit à aucune véritable exposition, et le spectateur suit leurs aventures comme s’il s’agissait des personnages qu’il connaissait déjà. Rien dans la narration n’indique de brisure réelle entre la construction de ces personnages fictifs qui forment des réseaux comparables avec d’autres personnages et endossent les mêmes rôles thématiques.

    Bioshock Infinite: histoire alternative et arché-texte

    Soumis par Manuel Legault-Roy le 09/04/2015
    Catégories: Culture Geek

    «Chaque pays raconte, de son Histoire comme de toutes les histoires, la version qui l'arrange, et qui le montre sous la lumière la plus flatteuse. Certains faits marquants seront engloutis à jamais sous le silence; d'autres, au contraire, deviendront fictions officielles et seront inlassablement soulignés, commémorés, enseignés.» (Nancy Huston: 88)

    Lost in metafiction: La métaréflexivité spectatorielle dans Lost

    Soumis par Annie-Claude Boulianne le 08/04/2014
    Catégories: Culture Geek

    Lost, télésérie qui a soulevé les passions sur les ondes du réseau américain ABC pendant plus de 6 ans, est aujourd’hui malheureusement célèbre pour sa fin. Ayant provoqué l’ire des spectateurs à l’époque, la conclusion de cette épopée, jugée trop ouverte par plusieurs, agit comme un repoussoir pour la plupart des non-initiés qui souhaiterait se lancer dans cette aventure de 121 épisodes. Lost raconte l’histoire des passagers du vol Oceanic 815 qui s’est écrasé sur une île quelque part au milieu du Pacifique.

    Vers un monopole de l'imaginaire: le canon Disney/Marvel

    Soumis par Guillaume D’amour le 25/02/2014
    Catégories: Culture Geek

    Une compagnie d’animation est fondée en 1923 par Walt et Roy Disney sous le nom de Disney Brothers Cartoon Studio, dans la foulée de l’après-guerre. Cette compagnie, mieux connue sous le nom Disney, s’établit rapidement comme un leader dans l’industrie de l’animation avant de se diversifier dans la télévision, les parcs d’attractions, la musique et les médias en ligne. Elle devient une corporation américaine multinationale une quarantaine d’années après sa création.

    Un sacrilège interactif: Dante's Inferno

    Soumis par Simon Laperrière le 15/10/2013
    Catégories: Culture Geek

    Dans une entrevue publiée en 1997 avec Pierre Assouline, Jean-Luc Godard insiste qu’il est tout à fait inutile d’adapter au cinéma de grandes œuvres littéraires puisque le résultat, selon lui, ne peut être que décevant: «Les chefs-d’œuvre, il faut les lire, pas les tourner. Faire un film avec le "Voyage au bout de la nuit", ça n’a pas de sens.»

Pages