Robocop, apogée et crise de l'homme-machine disciplinaire
Soumis par Antonio Dominguez Leiva le 12/02/2014
Le 12 février marque l'arrivée en salle du Robocop nouvelle mouture, soit la nouvelle version du classique de 1987 de Paul Verhoven par José Padilha. Un policier grièvement blessé est mécanisé pour devenir un redoutable cyborg officier. Culmination et crise de l'homme-macchine disciplinaire ainsi que du «corps dur» reaganien, le «héros culturel» créé un an après Watchmen et Dark Knight Returns était la somme de toutes les contradicions de la révolution conservatrice néolibérale.
Auteur(s):
Antonio Dominguez Leiva