Aux origines de la popification cinématographique
Soumis par Paul Bleton le 11/01/2016
Depuis le promontoire de notre postmodernisme recycleur, la «popification» semble bien la moindre des choses. Outre l’appel des œuvres à l’érudition pop du public et la pertinence du strabisme interprétatif lors de l’acte de réception (un œil sur l’œuvre recycleuse et un autre sur son modèle recyclé reconnu), cet air du temps incite aussi le discours critique à rivaliser d’audacieux courts-circuits historico-esthétiques, de sagaces reconnaissances.